Quatre voix, deux de femmes (F, J), deux d’hommes (H, B). Voix de femme : une plus grave, une plus aiguë. Voix d’hommes : de même.
Produire d’abord des versions légères, un ou deux instruments d’accompagnement, pas plus, qu’elles puissent être reprises par des amateurs partout, en tous pays, en toutes circonstances. De mélodies qu’on retient, qu’un homme ou une femme seuls dans la détresse puissent fredonner ou qu’un petit groupe de femmes et d’hommes dans l’adversité, dans le combat, puissent chanter.
On composera d’autres versions plus vastes, plus sonnantes, pour les solennités polyphoniques.
Éditions françaises de Un hymne à la paix (16 fois) chez publie.net/publie.papier
Édition allemande, Eine Hymne an den Frieden (sechzehnmal), aux éditions Verlag Im Wald dans la traduction de Rüdiger Fischer.
On lit ici un des quatre trios, l’hymne 11 (voix d’Homme, de Bourreau et de Femme et ses traductions en allemand par Rüdiger Fischer et en italien par Beatrice Monroy. De même, l’hymne 12 (voix d’Homme, de Justice et de Bourreau) et ses traductions en allemand et en italien.